L’empagliflozine (classe des SGLT2), avait montré pour la première fois en 2015 dans EMPA-REG qu’une molécule antihyperglycémique réduisait la mortalité CV et la mortalité toutes causes confondues ainsi que le risque d’hospitalisation pour insuffisance cardiaque de plus de 30 %, chez des diabétiques de type 2 à haut risque cardiovasculaire. L’étude Empareg Rénal Substudy vient de montrer sous empaglifozine une réduction de 39 % de la survenue ou de dégradation de néphropathie.
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