Le secteur de la pharmacie est en ébullition.
Alors que le décret d’application autorisant la vente en ligne de médicaments entre en vigueur ce vendredi, l’UFC-Que choisir soutient l’idée de l’Autorité de la concurrence d’ouvrir partiellement la vente de médicaments sans ordonnance à d’autres canaux de distribution que les pharmacies.
Les consommateurs, argumente l’association, « paient aujourd’hui au prix fort l’insuffisante concurrence entre officines », avec des tarifs pouvant aller de 1 à 4, y compris dans des pharmacies géographiquement très proches.
Baisse de 16 % des dépenses
Selon l’association, la fin du monopole des officines pourrait octroyer aux consommateurs une baisse de 16 % sur leurs dépenses d’automédication, soit 269 millions d’euros par an.
Interrogée par l’AFP, Marisol Touraine a affirmé ce vendredi que la vente de médicaments en grandes surfaces « n’est pas envisagée par le gouvernement ».
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