« Les signaux en termes de communication ont été presque tous porteurs de valeurs négatives. On a mis en avant la prudence nécessaire, le besoin de pharmacovigilance…. Mais personne n’est venu dire que le vaccin c’est formidable, que c’est un exploit scientifique inouï, que cela va sauver des vies, que nous allons pouvoir lutter contre la pandémie… »
François Bourdillon, ancien directeur de Santé publique France in Libération du 6 janvier 2021.
Cancer rénal : le pembrolizumab associé à l’axitinib confirme sa supériorité à long terme
SEP : la phase prodromique durerait quinze ans, marquée par des consultations à la hausse
L’ANSM ajoute deux dérivés de la kétamine à la liste des stupéfiants
L’efficacité de la clozapine est améliorée par les ISRS et les IRSN