65% des patients souffrant d’allergies respiratoires (AR) savent que celles-ci peuvent s’aggraver dans le temps, mais ils ne sont que 34 % à consulter un spécialiste allergologue et 54 % à se tourner vers un généraliste.
Du coup, seuls 31 % des malades savent qu’il existe des traitements contre les AR tels que l’immunothérapie allergique qui peuvent être efficaces à long terme. Ce sont les résultats d’une enquête IFOP/Fondation Stallergènes menée auprès de 523 personnes allergiques. Plus optimiste, une enquête menée par les mêmes partenaires, sur 310 parents ayant un enfant allergique respiratoire, montre que 88 % des enfants souffrant d’allergies respiratoires pratiquent une activité sportive, bénéfique tant pour le développement global que ventilatoire. 67 % des parents déclarent cependant que leurs enfants éprouvent une gêne dans ce cadre.
Cancer rénal : le pembrolizumab associé à l’axitinib confirme sa supériorité à long terme
SEP : la phase prodromique durerait quinze ans, marquée par des consultations à la hausse
L’ANSM ajoute deux dérivés de la kétamine à la liste des stupéfiants
L’efficacité de la clozapine est améliorée par les ISRS et les IRSN