Les premiers résultats de l’essai COM’TEST présentés à Vienne « démontrent la pertinence d’un tel dispositif, a souligné Roselyne Bachelot. Il permet de détecter un grand nombre de personnes particulièrement à risque et qui plus est, dépistées à un stade très précoce de la maladie, ce qui est dorénavant l’objectif à atteindre ». Cette étude menée par AIDES et l’ANRS (Agence nationale de recherches sur le sida et les hépatites) montre que le niveau de découverte de séropositivité dans ce dispositif est 10 fois supérieur à celui réalisé en CDAG, avec un niveau élevé de satisfaction (plus de 90% des personnes testées) ; 38 % des personnes dépistées n’avaient pas fait de test depuis plus de 2 ans. « Nous avons prouvé, par des résultats concrets, que l’offre démédicalisée de dépistage correspond à un réel besoin », souligne AIDES.
Résultats prometteurs
Publié le 22/07/2010
- 0 RéactionsCommenter
- Partager sur Facebook
Facebook
- Partager sur X
X
- Partager sur Linkedin
Linkedin
- Partager par mail
Mail
Article réservé aux abonnés
- 0 RéactionsCommenter
- Partager sur Facebook
Facebook
- Partager sur X
X
- Partager sur Linkedin
Linkedin
- Partager par mail
Mail
Source : Le Quotidien du Médecin: 8805
Série d’été – Ces exercices hors du commun
« C’est un plaisir de médicaliser le Hellfest » : le Dr Pierre Balaz allie médecine et death metal
Indemnisation des accidents médicaux : 186 millions d’euros versés par l’Oniam en 2024
Médecins bénévoles : « Connaître l’état d’esprit des patients très précaires est fondamental pour soigner »
Un cardiologue porte assistance à une passagère en plein vol : « je n’aurais jamais imaginé vivre une telle situation »