Avec « Pasteur, l’homme qui a vu », diffusé mardi soir, France 2 fait revivre les quelques semaines de 1885 qui précèdent le test par Pasteur du vaccin contre la rage sur le petit Joseph Meister. De nombreux flash-back permettent d’évoquer le parcours du savant, incarné par André Marcon, tandis que Bruno Todeschini personnifie le Dr Émile Roux. Ce documentaire-fiction, qui s’appuie sur les nombreux documents disponibles grâce à l’Institut Pasteur, au musée Pasteur et à la Maison de Louis Pasteur à Arbois (ouvrages, carnets, photos, objets), utilise aussi les images de synthèse en 2D et 3D et les dessins pour les explications scientifiques sur les microbes, la contagion, l’asepsie, le vaccin. Pour Noël Tordo, virologiste, responsable notamment de l’Unité de biologie des infections virales émergentes (UBIVE Institut Pasteur), « l’héritage de Pasteur, qui est bien rendu dans le film, c’est une manière de penser : ne pas s’arrêter à ce qui est connu mais aller au-delà ; ne pas chercher pour chercher mais pour essayer d’améliorer la santé humaine ».
Mardi 29 mars, 20 h 35, France 2.
Série d’été – Ces exercices hors du commun
« C’est un plaisir de médicaliser le Hellfest » : le Dr Pierre Balaz allie médecine et death metal
Indemnisation des accidents médicaux : 186 millions d’euros versés par l’Oniam en 2024
Médecins bénévoles : « Connaître l’état d’esprit des patients très précaires est fondamental pour soigner »
Un cardiologue porte assistance à une passagère en plein vol : « je n’aurais jamais imaginé vivre une telle situation »