« Pour le contexte, toute la journée ce lendemain des élections, il y avait des tractations d’appareil pour des fusions de listes, comme si de rien n’était, et ça m'a choquée ; je trouvais que c'était déconnecté de la réalité que nous allions vivre. Je voyais l’épidémie progresser et j’avais la quasi-certitude que nous ne pourrions pas tenir le second tour et j’étais très énervée. Donc j’ai répondu à cela, c’est cela que j’ai appelé 'une mascarade. »
Le 17 mars 2020 au journal Le Monde (le lendemain du premier tour des élections municipales) :
« Depuis le début je ne pensais qu’à une seule chose : au coronavirus. On aurait dû tout arrêter, c’était une mascarade. La dernière semaine [de campagne avant le premier tour] a été un cauchemar. J’avais peur à chaque meeting. J’ai vécu cette campagne de manière dissociée. »
Série d’été – Ces exercices hors du commun
« C’est un plaisir de médicaliser le Hellfest » : le Dr Pierre Balaz allie médecine et death metal
Indemnisation des accidents médicaux : 186 millions d’euros versés par l’Oniam en 2024
Médecins bénévoles : « Connaître l’état d’esprit des patients très précaires est fondamental pour soigner »
Un cardiologue porte assistance à une passagère en plein vol : « je n’aurais jamais imaginé vivre une telle situation »