« Après des années de recommandations - souvent demeurées lettre morte - il n'est que temps d'entrer dans le concret, d'identifier les lacunes et de mesurer les efforts fournis qui permettront de mieux s'organiser et de rendre plus efficaces les ressources publiques dédiées. Le dialogue entre les responsables techniques (DSI, RSSI, DPO et ingénieurs biomédicaux) avec les directions générales doit être encouragé pour que ces derniers prennent pleinement conscience de l'importance stratégique du sujet et de leur responsabilité devant les juridictions en cas de défaut. Les récentes décisions budgétaires, si elles restent prudentes, vont dans le bon sens alors que se multiplient les risques (internes) et les menaces (internes et externes). »
Série d’été – Ces exercices hors du commun
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Indemnisation des accidents médicaux : 186 millions d’euros versés par l’Oniam en 2024
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Un cardiologue porte assistance à une passagère en plein vol : « je n’aurais jamais imaginé vivre une telle situation »