Le montage définitif du grand emprunt n’est pas encore arrêté mais il semble acquis que l’opération ne sera pas lancée auprès des particuliers comme cela avait été le cas en 1993 avec l’emprunt Balladur. Cette fois-ci, l’État recourra aux seuls marchés financiers, ce qui est moins coûteux.
Quant au chiffre de 35 milliards d'euros qui circule ces derniers temps, il ne correspond pas à un montant d’emprunt mais à une enveloppe d’investissements, Alain Juppé insiste sur ce point. Dans les faits, l’emprunt stricto sensu pourrait se limiter à 22 milliards d’euros, le reste provenant du recyclage des 13 milliards d'euros d'aides que les banques sont en train, intérêts compris, de rembourser à l’État.
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