L’histoire a montré que le secret médical et le secret d’État allaient de pair lorsqu’un président était affecté d’une maladie grave.
Mais même avec un président en bonne santé, le secret est la règle. Malgré l’accord confirmé par le service de presse de l’Élysée, le médecin en chef Jean-Christophe Perrochon, urgentiste du service de santé des armées détaché à l’Élysée pour diriger le service médical, a finalement refusé de recevoir le Quotidien (contrairement à son prédécesseur, le médecin en chef Claude Kalfon, médecin de François Mitterrand, puis de Jacques Chirac).
Série d’été – Ces exercices hors du commun
« C’est un plaisir de médicaliser le Hellfest » : le Dr Pierre Balaz allie médecine et death metal
Indemnisation des accidents médicaux : 186 millions d’euros versés par l’Oniam en 2024
Médecins bénévoles : « Connaître l’état d’esprit des patients très précaires est fondamental pour soigner »
Un cardiologue porte assistance à une passagère en plein vol : « je n’aurais jamais imaginé vivre une telle situation »