«En considérant que les populations étaient composées d’individus interchangeables, dont la probabilité d’être contaminée était identique pour tous, ces modélisations ont par nature contribué à l’invisibilisation des disparités sociales et territoriales. Elles ont par là même conduit à promouvoir des stratégies globales indifférenciées…»
Barbara Stiegler et François Alla : Santé publique année zéro, «Tracts», Gallimard, numéro 37, 64 pp., 3,90 euros. Citation par le journal Libération « Après le Covid, la santé publique au point mort » (cliquez ici)
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